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"Gros Câlin"
Texte de Romain Gary, théâtralisé par Thierry Fortineau. Mise en scène de Patrice Kerbrat. Avec Thierry Fortineau.
Au Théâtre Pépinière Opéra, Paris (IIe). Du mardi au samedi à 21 h, samedi à 18 h. 01 42 61 44 16.
Vu le 15 octobre 2002
Gros Câlin, c’est le nom d’un gros python adopté par Michel Cousin à la sortie de l’hôtel “Tous frais compris” lors d’un voyage organisé. Mais, pour lui, c’est plus qu’un animal exotique, c’est son antidote contre la solitude, le manque d’amour. La compagnie de Gros Câlin le confronte à des situations délicates comme le nourrir. C'est alors qu’il tombe aussitôt amoureux du repas de son serpent : une si jolie souris blanche. Gros Câlin fera aussi une incursion chez les voisins du dessous via le conduit des toilettes. Cela aura pour conséquence d’envoyer notre héros au commissariat et la voisine à l’hôpital. Pendant une heure et demie, Thierry Fortineau nous invite dans l’étrange univers de M. Cousin, un monde oscillant entre folie douce et lucidité naïve. Il endosse ce personnage avec talent, sorte d’enfant dans une vie d’adulte qui nous narre son amour pour mademoiselle Dreyfus à qui il demande, dans un grand moment d’audace, si elle aime le cinéma... Et l’instant d’après, il nous parle de ses visites chez les dames de petite vertu avec moult détails. Mais tout et rien sont motifs à digression pour le personnage de Romain Gary. De son articulation et de son rythme bien particulier, le comédien sait nous émouvoir, nous faire rire et nous garder attentifs tout au long d’un texte frisant le surréalisme. Une véritable performance d’acteur !
© Dominique Debeauvais.
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"Ils nous ont relâchés c'matin !"
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Texte et mise en scène de Bruno Massardo. Avec Delphine Buresi, David Hissler et Bruno Massardo
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Au Théâtre Trévise, 14 rue de Trévise Paris (IXe), du mardi au samedi à 20 h 30.
Du 2 juillet au 31 août 2002. Rens. : 01 46 71 81 19.
Ensuite du 3 septembre au 2 novembre 2002 à 22 h.
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Vu en sept. 2001 dans le cadre du Festival du Point Virgule
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L'été sera placé sous le signe de l'humour à Paris avec la pièce de Bruno Massardo dont nous avions pu découvrir un extrait lors du festival du Point Virgule en septembre 2000.
Humour noir, autodérision et énergie explosive sont les ingrédients de ce spectacle qui nous conte les tribulations quotidiennes de Ginette et Bernard, un couple de français moyen, accompagné d'un "poisson pilote" aux multiples facettes. Tantôt flic, voisin râleur, ^présentateur télé ou comédien raté, celui-ci est le témoin de leurs tranches de vie.
L'occasion de se muscler les zygomatiques pour ceux qui sont à Paris cet été.
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"Monstres sacrés, Sacrés monstres "
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Montage poétique conçu et interprété par André Dussolier.
Textes de Alphonse Allais, Félix Arvers, Charles Baudelaire, Roland Dubillard, André Frédérique, Sacha Guitry, Victor Hugo, Alfred Jarry, Victor Hugo, Abbé de Lattaignant, Armand Masson, Henri Michaux, Molière, Alfred de Musset, Jacques Prévert, Arthur Rimbaud, Edmond Rostang, Jean Tardieu, Paul Verlaine, Alfred de Vigny, Léon Vilbert.
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Vu le mercredi 19 décembre 2001
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Au théâtre Molière, Passage Molière, Paris (IIIe), du mercredi au samedi à 21h, dimanche 17h, représentation supplémentaire les samedis à 18 h. Relâche lundi et mardi.
Du 5 décembre 2001 au 3 février 2002, prolongations jusqu'au 28 février 2002.
Reprise pour cause de succès à partir du 10 mai 2002 au Théâtre de la Gaîté Montparnasse (Paris XIVe),
du mardi au samedi à 20 h 30, samedi à 18 h, dimanche à 17 h 30.
Nouvelle reprise du 8 octobre au 8 décembre 2002 au Théâtre de la Gaîté Montparnasse (Paris XIVe),
du mardi au samedi à 20 h 30, samedi à 18 h, dimanche à 17 h 30. Rens. : 01 43 22 16 18.
André Dussolier a reçu le Prix Plaisir du Théâtre pour ce spectacle.
Du 16 au 22 décembre au Théâtre du Jeu de Paume à Aix-en-Provence (13). Rens. : 04.42.99.12.00.
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Qu’il peut être doux parfois de se laisser bercer par les mots ! La magie renaît toujours. André Dussolier est passé maître dans cet art. Porté par une présence désarmante, il nous entraîne sur la scène du théâtre Molière, dans l’univers ensorcelant des poètes et des grands auteurs français. Les écrits de Rostand, Hugo, Allais, Prévert, Vigny ou encore de l’Abbé Michaux reprennent vie, s’harmonisent et vibrent au son sa voix. On passe de l’un à l’autre, oubliant les styles et les époques qui les séparent. Force est de constater, si toutefois l’on en doutait, qu’ils sont indémodables et terriblement actuels. On sourit à l’humour des uns, on a le cœur serré en écoutant les autres. Le temps s’arrête sur une émotion pour reprendre de plus bel. L’association des thèmes et des idées dévoilée par André Dussolier est surprenante. Elle nous met en bouche ses "Monstres sacrés" d’une manière originale, peut-être même avec un goût de trop peu. On découvre et redécouvre avec délectation ces auteurs et la simplicité des mots. © Anne Bizouarn
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"Hugo : La Voix du peuple"
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Textes de Victor Hugo. Montage et mise en scène de Michel de Maulne.
Avec Bérangère Dautun, Sabeline Amaury et Pétronille de Saint Rapt. Lumière de Serge Autogue.
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Au Théâtre Molière-Maison de la Poésie (Paris IIIe), le mercredi à 19 h, du jeudi au samedi à 21 h, le dimanche à 17 h.
Reprise du 18 septembre au 20 octobre 2002. Rens. : 01 44 54 53 00.
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(Pas encore vu)
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La Maison de la Poésie a connu l'année dernière de beaux succès (dont le magnifique "Monstres sacrés, Sacrés monstres"). Nous lui restons fidèles en ce début de saison avec la reprise du magnifique spectacle de Michel de Maulne, "Hugo, La Voix du peuple", qui est l'un des principaux responsables de la réussite de la saison 2001/2002. Michel de Maulne a fait ici un montage de textes politiques et engagés d'Hugo extraits notamment de "L'Homme qui rit", "Les Misérables", "Lettres aux femmes de Cuba, "Journal", etc. L'originalité du spectacle réside dans le choix de trois voix féminines pour interpréter ces textes, rompant avec le " ton hugolien". Cela nous amène ainsi à découvrir la véritable substance et la sincérité de l'écriture de celui qui fut l'avocat des simples et le procureur des justes. Un spectacle entièrement dédié à ce romantique - et visionnaire - qui écrivit : "Je serai le Verbe du Peuple...".
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"Madame Sans-Gêne"
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D'après l'œuvre de Victorien Sardou, avec la collaboration d'Émile Moreau. Version nouvelle de Pierre Laville. Mise en scène d'Alain Sachs, assisté d'Agnès Boury.
Avec Clémentine Célarié, Frédéric Van den Driessche, Michel Vuillermoz, Philippe Uchan, Manuel Durand, Philippe Beglia, Catherine Bodet, Christophe Bouisse, Laurence Colussi, Patrick Delage, Catherine Griffoni, Olivier Hemon, Anne-Guersande Ledoux, Laurent Meda et Pierre Zaoui.
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Au Théâtre Antoine (Paris Xe), du mardi au samedi à 20 h 45, + samedi à 17 h et dimanche à 15 h 30.
Depuis le15 octobre 2001, jusqu'à fin juin. Reprise jusqu'à la fin de l'année. Rens. : 01 42 08 77 71.
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(Pas vu)
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Cent-huit ans après sa création par la grande comédienne Réjane, "Madame Sans-Gêne" est de retour sous les traits de Clémentine Célarié. Cette célèbre pièce de Victorien Sardou s'inspire à la fois de la vie de la Maréchale Lefebvre, duchesse de Dantzig - connue pour ses manières et son franc-parler - et de celle de Thérèse, cantinière et soldate héroïque qui guerroya à l'époque de Napoléon Bonaparte.
Le personnage de Madame Sans-Gêne, avec son énergie et son esprit, est devenue légendaire. Elle est la descendante logique des grands personnages féminins du théâtre classique avec un supplément d'impertinence propre au XIXe siècle.
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"99 F"
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D'après le roman de Frédéric Beigbeder. Adaptation de Claudio et Gilbert Ponté. Mise en scène de Stéphane Aucante. Lumières de Gilles Richard. Interprété par Gilbert Ponté
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Au Théâtre Trévise (Paris IXe), du mardi au samedi à 22 h.
Du 15 janvier au 16 mars 2002. Rens. : 0820 800 400.
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Vu le jeudi 24 janvier 2002
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Drogue, sexe, alcool, argent, hypocrisie, trahison et félonie, voilà qui pourrait résumer l'univers de la pub que nous décrit Frédéric Beigbeder dans son roman à succès. On aime ou pas l'écriture de ce fils de pub mais l'adaptation réalisée par les frères Ponté vaut le détour et l'interprétation que nous offre Gilbert Ponté est celle d'un grand comédien. Il habite à la fois Octacve Parengo, l'anti-héros principal mais également tous les autres personnages. Et il mouille sa chemise, le bougre, pour nous offrir une palette de jeux subtiles et enthousiastes. Sachant laisser la place à des moments d'émotions, il nous propose un spectacle rythmé qui est une véritable performance d'acteur.
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"Shake"
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Autour de "La Nuit des rois" de Shakespeare. Traduction de Marie-Paule Ramo. Mise en scène de Dan Jemmett. Assisté de Marie-Paule Ramo. Scénographie de Dan Jemmett et Denis Tisseraud. Lumières de Arnaud Jung. Peintures de Sylvie Martin-Hyszka. Avec Valérie Crouzet, Julie-Anne Roth, Geoffrey Carey, Antonio Gil Martinez et Hervé Pierre.
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Au Théâtre des Abesses (Paris XVIIIe), du mardi au samedi à 20 h 30, dimanche à 15 h.
Du 7 au 23 février 2002. Rens. : 01 42 74 22 77.
Au Palais des Arts de Nogent-sur-Marne (94), le 28 mars 2002 à 20 h 30. Rens. : 01 48 72 94 94.
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Vu le jeudi 8 février 2002
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Quand un metteur en scène anglais (mais vivant en France) inventif et talentueux revisite un grand classique du répertoire, le théâtre redevient un vrai divertissement. Il faut dire que Dan Jemmet est joueur et ne manque pas d'humour. Dans une ambiance Années 50 et bord de mer, avec des cabines de plage sur scène et des vinyles passés en direct sur un vieux tourne-disques, ce spectacle mélange les genres avec une jubilation communicative. Entre burlesque et music hall, les cinq comédiens prennent à bras le corps les dix-sept personnages de la pièce et nous offrent un théâtre dynamique, énergique et parfaitement maîtrisé. Un vrai bonheur ! "La Nuit des rois" comme on l'a jamais vu.
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"De toutes manières..."
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Une comédie de Pascal Rocher et Philippe Aris. Mise en scène : Philippe Aris et Pascal Rocher.
Avec Elisabeth Martin ou Anne-France Mayon, Jocelyne Cazanobes ou Christel Charpentier, Véronique Coelo, Pascal Rocher, Philippe Le Gall, Hervé Chassing, Stéphane Aubin, Elias ou Gilles Gourmelen, Olivier Reis ou Sébastien Chapron et Philippe Aris. Lumières de François Zumstein.
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À la Comédie Caumartin (Paris IXe), du mardi au samedi à 21 h 30, Après trois ans de succès,
reprise du 8 janvier 2002 au 30 mars 2002. Rens. : 01 42 93 30 34.
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(Pas encore vu)
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L'homosexualité étant toujours un sujet à la mode - aussi bien au café-théâtre qu'au théâtre -, le voici donc une nouvelle fois traité sur une scène parisienne. Il s'agit ici de la vie au quotidien, pas toujours simple, de trois amis-homos-ex-amants et co-locataires ! Mais quand l'un d'entre eux décide de révéler son homosexualité à ses parents, tout devient très vite compliqué ! Surtout lorsque rien ne se passe comme prévu...
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"Les Copropriètaires"
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Une comédie écrite et mise en scène par Gérard Darier. Avec Marie Arnaudy, Chantal Deruaz, Marianne Valery, Marc Bertolini, Christian Gaïtch et Raymond Gil.
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Au Théâtre Fontaine (Paris IXe), du mardi au samedi à 20 h 30 et le dimanche à 15 h.
Depuis le 18 juillet 2001. Rens. : 01 48 74 74 40.
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Vu le jeudi 30 août 2001
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Tous ceux qui ont déjà assisté à une assemblée générale de copropriétaires savent combien ce type de réunion peut être houleux, surtout si des décisions importantes doivent être prises. Ici, l'auteur a choisi l'installation d'un ascenseur pour pimenter les débats de cette petite assemblée. Du coup, l'apparente harmonie qui régnait dans cet immeuble va se transformer en vent de folie. Seul, l'humour devrait en sortir gagnant !
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"Notre Jeff qui êtes odieux" de Jeff Didelot
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Textes de Jeff Didelot avec la collaboration de Bernard Bourdeau.
Mise en scène de Corinne Gualda. Interprété par Jeff.
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Jusqu'à fin décembre 2001, au Café-Théâtre des Blancs Manteaux (Paris IVe),
du mercredi au samedi à 20 h. Rens. : 01 48 87 15 84.
Reprise durant tout le festival d'Avignon 2002.
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Vu le mardi 23 janvier 2001
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Il gratte là où ça fait mal. Mais plus par conviction que par méchanceté car Jeff est généreux. Sous ses dehors caustiques (comme la soude), il aime l'humanité (en l'occurrence représentée le public) et son rôle d'empêcheur de tourner en rond humoristique. De "l'Accident de la route" au "téléthon" en passant par "La cigarette" et "Le viager" et "Les interdits", tout est prétexte à une analyse acérée de notre condition d'humain et de ses travers. Grâce à la mise en scène intelligente et adaptée (à un petit lieu !) de Corinne Gualda, Jeff sort du cadre restreint du One man show pour nous offrir de vrais moments d'humour corrosif digne d'un Pierre Desproges. Pardon ! Que Dieu me tripote !!!!
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